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Déposez un projet d’intégration

Déposez un projet d’intégration

Bonjour à toutes et à tous,

Le Comité universitaire d’intégration pédagogique (CUIP) invite les personnes chargées de cours intéressées à soumettre leur projet pédagogique pour le premier appel à projets d’intégration de l’année universitaire 2024-2025. Pour ce faire, vous êtes invités à acheminer votre projet au Décanat de la gestion académique (lien ci-dessous) avec copie à integration@sccc-uqo.ca. et ce, d’ici le vendredi 24 mai 2024 à 17h. À noter que les projets soumis et acceptés devront être complétés au plus tard le 30 avril 2025.

Vous trouverez à l’adresse suivante le formulaire à utiliser pour la soumission de votre projet : http://uqo.ca/docs/9750

Il est important de détailler les étapes de votre projet et d’indiquer, pour chacune d’elle, le nombre d’heures prévues. Si vous avez des questions pour la rédaction de votre offre de projet, n’hésitez pas à contacter vos représentantes syndicales membres du comité : madame Farida Djoudi farida.djoudi@uqo.ca et madame Annie Duplessis annie.duplessis@uqo.ca

De plus la clause 26.05 de la convention collective prévoit un montant de trente mille dollars (30 000$) réservé à même le budget d’intégration pour des projets de recherche et d’intégration. Les personnes chargée.es de cours intéressées (la personne chargée de cours doit être titulaire d’un doctorat (PhD) et son projet doit s’inscrire dans le cadre d’un projet de recherche subventionné et soutenu par une professeure ou un professeur de l’UQO) peuvent faire leur demande dès ce premier appel pour l’exercice 2024-2025.

https://uqo.ca/direction-services/decanat-gestion-academique/programme-dintegration-pedagogique-personnes-chargees

Salutations,

Le comité d’intégration pédagogique des personnes chargées de cours

Le sage centenaire

Le sage centenaire

Guy Rocher a vu le jour le 20 avril 1924. Il a donc maintenant 100 ans révolus. Il est un des 9 500 centenaires que compte le Canada. Nul doute que l’implication de cet homme dans nos grands débats de société, tout au long de son parcours de vie en général et surtout de la fin des années quarante à aujourd’hui, a été bénéfique et profitable pour nous tous et toutes.

Son anniversaire de naissance me permet de revenir sur certains aspects de sa vie et de profiter de l’occasion pour lui dire un immense merci pour tout ce qu’il a fait et continue toujours de faire pour notre collectivité encore aujourd’hui. Dans les prochaines lignes, je veux vous parler de l’homme que je connais, de l’auteur que je lis, du professeur de sociologie qui m’a enseigné, de l’acteur social qui m’interpelle et bien entendu de l’ami indéfectible que j’apprécie.

Un parcours diversifié

Guy Rocher a un parcours atypique. Après des études classiques ininterrompues qui le mènent à l’obtention d’une licence en droit, il délaisse les bancs d’école pour se joindre à la Jeunesse étudiante catholique (JEC). C’est au sein de cette organisation, dans laquelle il milite bénévolement à temps plein, qu’il va décider, quelques années plus tard, d’effectuer un retour aux études universitaires en sociologie. Entre-temps, il fera la rencontre d’une personne qui va l’inviter ultérieurement à participer aux travaux d’une commission d’enquête, dont on parle encore aujourd’hui de plusieurs de ses recommandations.

De cette époque (des années quarante et cinquante), deux hommes méritent d’être nommés : le père Georges-Henri Lévesque et bien entendu Paul Gérin-Lajoie. Pourquoi ces deux personnes ? D’une part, c’est le père Lévesque qui a parrainé Guy Rocher dans ses démarches d’inscription à la prestigieuse Université Harvard et, pour sa part, Paul Gérin-Lajoie fera de notre jeune nouveau centenaire un commissaire chargé de formuler des recommandations porteuses d’avenir en matière d’éducation pour la province de Québec (et j’ai nommé la célèbre Commission Parent).

Il m’arrive souvent de me demander ce qui aurait pu arriver aux enfants de la classe ouvrière qui ont vu le jour au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale n’eût été les travaux de cette commission d’enquête. Une chose est certaine, peu parmi les bébés boomers, issus des milieux populaires, auraient été en mesure d’accéder aux niveaux d’enseignement supérieur. C’est grâce aux travaux des membres de la Commission Parent et aux audacieuses propositions de réformes contenues dans leur rapport qu’il y a eu, durant les années soixante, la création d’une kyrielle de nouvelles institutions scolaires au Québec (les polyvalentes, les cégeps et aussi le réseau de l’Université du Québec). En bref, la création de plusieurs dizaines d’établissements d’enseignement susceptibles de permettre autant aux filles en plus grand nombre qu’aux garçons de développer leurs aspirations scolaires et de pouvoir poursuivre leurs études en s’endettant le moins possible. Montrons-nous reconnaissant à l’endroit des hommes et des femmes qui ont fait partie de cette commission d’enquête et qui n’ont pas hésité à oser proposer la reconfiguration de notre système scolaire pour en faire un système intégré (de la prématernelle à l’université) et adapté aux nouvelles exigences de la société du savoir et surtout moins porteur de discrimination fondée sur le sexe. Mais Guy Rocher c’est plus qu’un ex-membre de la Commission Parent, c’est aussi un grand intellectuel inspirant.

L’intellectuel inspirant

En écoutant ou en lisant Guy Rocher, nous nous retrouvons avec un scientifique qui tient des discours ou qui rédige des textes invitant à douter des théories doctrinales. Sa démarche nous incite fortement à analyser et à nuancer ce qui mérite de l’être. Pour être bref, Guy Rocher nous encourage à éviter dans nos réflexions et notre production de connaissances les chapelles dogmatiques ou les catégories illusoires que reprennent à leur compte les personnes au pouvoir ou qui ambitionnent de le conquérir. Il est certes un brillant scientifique ; un des rares à pouvoir communiquer avec clarté dans une langue accessible au plus grand nombre. Son style d’écriture s’oppose au langage hermétique de trop nombreux universitaires nébuleux qui s’expriment dans une exposition de leur savoir tarabiscotée à outrance. La pensée de Guy Rocher s’éloigne évidemment d’un manichéisme simpliste ou des oppositions élémentaires et souvent binaires.

Un regard analytique qui va au-delà des théories toutes faites

Il m’a toujours été agréable de lire un texte écrit par Guy Rocher ou de prendre connaissance de ses résultats de recherche. Son étude portant sur les aspirations scolaires (l’étude du groupe ASOPE) nous en a appris beaucoup sur les raisons expliquant pourquoi certains jeunes abandonnaient l’école. À l’époque où les théories sur la surdétermination en dernière instance ou non des structures sociales étaient à la mode et faisaient des adhérentes et des adhérents rapidement, lui et son équipe de recherche ont plutôt découvert, à travers une longue étude empirique, que dans certains cas la raison principale résidait dans le fait que le personnel de l’école et certains parents demandaient à leurs enfants « que vas-tu faire à la fin de tes études ? ». La fin des études correspondait ici au secondaire 5. Pour le jeune professeur de cégep et d’université que j’étais, les résultats de cette recherche m’ont fait comprendre que la réponse à certains faits sociaux ne résidait pas, hélas, dans la richesse d’un cadre théorique élaboré au XIXe siècle ou dans les écrits d’universitaires localisés dans une tour d’ivoire de certaines institutions prestigieuses. Guy Rocher n’adhère pas au déterminisme à la manière d’Émile Durkheim. Il est d’avis que la découverte sociologique est à la fois le résultat d’une intervention de la société sur elle-même et implique également de reconstruire le tout dans les gestes et les paroles des individus concernés par le phénomène à l’étude. Inspiré en cela par Max Weber, Guy Rocher a pratiqué le constructivisme sociologique bien avant que celui-ci soit de mise dans la recherche actuelle.

Guy Rocher et la curiosité

Lors d’une intervention au Collège Montmorency, Guy Rocher a déclaré qu’il existait deux sources d’accès au bonheur : la curiosité et l’adhésion à une cause susceptible de modifier l’organisation de la vie dans la Cité. C’est en effet l’étonnement ou la curiosité, si vous préférez, qui le conduit depuis fort longtemps dans la voie de la résolution de l’énigme du changement social. Sans la curiosité, il n’y a pas, selon lui, de connaissances susceptibles de nous permettre de comprendre le monde ou ses phénomènes concrets et de trouver des voies qui mènent à la résolution du changement raisonné. Pourquoi les filles et les garçons n’ont-ils pas accès aux mêmes programmes de formation scolaire et universitaire ? Pourquoi les francophones, les autochtones, les allophones subissent-elles et -ils des discriminations face aux anglophones ? La quête du savoir ou de la connaissance chez Guy Rocher puise incontestablement dans une forme de stupeur devant le monde tel qu’il se présentait ou se dresse devant lui. C’est la persistance de son étonnement, tout au long de sa longue vie d’adulte, qui lui a permis de continuer à interroger d’une manière franche et authentique le monde dans lequel nous sommes et où nous retrouvons des personnes qui veulent le garder intact, tandis que d’autres veulent contribuer à le refaçonner. Chez Guy Rocher, le premier moteur du changement reste incontestablement la surprise, l’étonnement ou la curiosité devant ce qui est et ce qui ne fonctionne pas. Voilà aussi pourquoi face à ce monde divisé et présentant des injustices, pour être heureux, il faut adhérer à des causes en s’impliquant et en s’engageant.

Le professeur Guy Rocher

Je côtoie l’ex-professeur Guy Rocher depuis maintenant 35 ans. J’ai assisté à son séminaire portant sur la sociologie du droit ; séminaire donné à des étudiantes et des étudiants de deuxième et troisième cycles à l’Université de Montréal. Nous étions environ une vingtaine de personnes à suivre ce cours. Au menu des séances hebdomadaires de chaque cours : l’étude d’un ou de plusieurs documents puisés à même un volumineux recueil de textes, des exposés du professeur, mais surtout un échange intense entre le professeur et les étudiantes et étudiants portant sur les textes lus. Moi, j’ai toujours été étonné par la richesse de cette approche pédagogique. Le professeur Rocher avait autant de plaisir que nous à commenter les textes, mais aussi à écouter les commentaires des participantes et participants. Durant ces échanges, j’ai vu monsieur Rocher prendre des notes ; je l’ai entendu reconnaître humblement ne pas avoir perçu la question sous l’angle exprimé par l’étudiante ou l’étudiant et il reconnaissait la pertinence de ce point de vue. Monsieur Rocher sait écouter les autres avec beaucoup d’ouverture d’esprit, tout en étant très tolérant face aux points de vue qui s’opposent aux siens.

L’acteur social

Monsieur Rocher est aussi un acteur social qui a beaucoup donné à la collectivité. Il a largement contribué à façonner certaines institutions qui ont fait du Québec une société dynamique, porteuse de changements bénéfiques et nécessaires. Pensons ici à nouveau à sa contribution à la Commission royale d’enquête sur l’enseignement dans la Province de Québec (la Commission Parent) qui a permis la mise en place d’un système d’éducation démocratique, accessible, public et laïque. C’est principalement grâce à l’acteur social Guy Rocher (et aux autres commissaires de la Commission Parent) que plus de deux millions de personnes ont pu se diplômer aux niveaux collégial et universitaire ; ce qui n’est pas peu dire. En tant qu’acteur social, Guy Rocher a joué un rôle important lors de la rédaction de la Charte de la langue française au Québec (la Loi 101). De plus, durant la grève de ses collègues universitaires, il n’a pas hésité à prendre parti en leur faveur. Tout en étant attaché à l’Université de Montréal, il a demandé à la ministre de l’Éducation de l’époque de financer adéquatement l’UQAM. Que dire de ses interventions lors des grèves des professeurs de l’Université Laval et de l’Université du Québec à Montréal en 1976-1977 ? À cette époque, il a été un sous-ministre du développement culturel qui n’a pas eu peur d’ouvrir la porte de son bureau à des présidents de syndicats, alors que le ministre de l’Éducation préférait entendre le seul point de vue des recteurs de ces universités désertées pendant plus de 15 semaines.

Une vie qui a contribué à changer le monde

Quand je regarde la vie de Guy Rocher, je constate qu’il est possible d’analyser, dans le cadre d’une démarche rigoureuse et originale, notre monde en vue de le changer en fonction des intérêts du plus grand nombre. Guy Rocher est pour moi un sociologue et un citoyen qui s’est mis au service des membres de la société en nous suggérant fortement d’envisager la nécessité de s’enrôler socialement et politiquement, d’abord en observant notre monde, ensuite en identifiant les injustices et finalement en s’engageant dans la voie du changement afin de combattre les discriminations intolérables entre les sexes, les oppressions inqualifiables entre les groupes ethniques et culturels ainsi que les exclusions inacceptables des groupes minoritaires.

Pour conclure : Sur un ton un peu plus personnel…

De ce qui précède, deux mots me viennent en tête : générosité et inspiration. Monsieur Rocher vous êtes un être profondément généreux. Vous avez donné beaucoup aux autres et vous êtes toujours disponible pour continuer à donner. Encore aujourd’hui, vous intervenez quand on sollicite votre avis sur certains enjeux de société. Vous nous montrez qu’une personne, même centenaire, peut toujours entreprendre avec passion ce qu’elle a le goût de faire. Contrairement à ce que suggère Sénèque, vous êtes la preuve que même à un âge avancé il n’est pas nécessaire de se retirer de la scène publique. Il y a incontestablement beaucoup de vous dans ce que nous sommes.

Sur un ton un peu plus personnel qu’il me soit permis de dire que vous êtes un de ceux qui m’ont inspiré dans la voie des études avancées, mais surtout à trouver du plaisir dans les sentiers non balisés à emprunter qui mènent à la découverte sociologique. Vos écrits n’ont jamais cessé d’alimenter ma réflexion critique.

Monsieur Rocher, continuez à afficher ce sourire serein d’une personne qui ne renonce pas à jeter un regard critique sur la vie en société. Pour cette raison et encore plusieurs autres, moi, je vous encourage à continuer à nous livrer le résultat de vos analyses… Sachez en terminant que votre nom figure bien haut sur la courte liste de personnes exceptionnelles qui marquent leur époque. Bonne continuation, monsieur Rocher, et surtout longue vie… notre monde a toujours besoin de personnes qui ont une soif de justice sociale et qui indiquent la voie à définir et à emprunter pour réaliser le nécessaire changement social.

Vous incarnez, depuis fort longtemps, aux yeux de plusieurs un sage. À partir d’aujourd’hui, le 20 avril 2024, nous pouvons dire, salutations amicales à l’ami Rocher, le sage centenaire.

Yvan Perrier
Chargé de cours en relations industrielles
Université du Québec en Outaouais

Fronde contre la réforme du mode de financement de la recherche

La réforme du financement de la recherche au Québec cause de l’inquiétude. Recteurs, chercheurs et élus craignent la volonté du gouvernement Legault de rapatrier tous les fonds de recherche sous l’égide de l’Économie, redoutant que la science ne soit soumise à «une logique purement mercantile» dans le futur.

Directions d’universités, chercheurs et professeurs demandent à Québec de revoir sérieusement le projet de loi 44, craignant que la liberté académique ne soit mise en péril par le transfert de responsabilités du ministère de l’Enseignement supérieur à celui de l’Économie et de l’Innovation.

Le projet de loi prévoit le regroupement des trois fonds de soutien gouvernemental à la recherche scientifique – Nature et technologies, Santé, Société et culture – en un seul, le Fonds de recherche du Québec. Lire la suite…

Comment puis-je aider une étudiante ou un étudiant en difficulté personnelle (santé physique, psychologique ou psychosociale)?

Comment puis-je aider une étudiante ou un étudiant en difficulté personnelle (santé physique, psychologique ou psychosociale)?

Si une étudiante ou un étudiant est en situation de crise, nous vous conseillons de les référer au Programme d’aide et de référence (PARÉE).

Le PARÉE est un programme offrant aide personnelle, aide psychologique, écoute, soutien, accueil et référence. Il est offert à tous les étudiants et étudiantes, personnes inscrites à temps complet et à temps partiel de tous les programmes d’études, qui éprouvent des difficultés temporaires d’ordre psychologique, émotionnel, social, ou liées à leurs études. Tous les membres du personnel de l’UQO peuvent diriger des étudiantes et étudiants vers le PARÉE.

Le PARÉE est situé au Bureau du registraire et des services aux étudiants, soit au local B-0170 du pavillon Lucien-Brault.

819 595‑3900, poste 1685

1 800 567-1283, poste 1685

Pour les étudiantes et les étudiants de Gatineau, la Clinique médicale est un autre service offert. Les étudiantes et les étudiants victimes de violence à caractère sexuel peuvent s’y référer. La Clinique se situe au local F-2014 du pavillon Alexandre-Taché.

819 595-3900, poste 2544

1 800 567-1283, poste 2544

IA à l’université : le passage de la réflexion à l’action tarde

Aucune politique sur ChatGPT et ses semblables, aucun code de conduite pour encadrer leur usage, forte réticence à sanctionner le plagiat : un an après l’arrivée en trombe des agents conversationnels sur les campus, très peu de gestes concrets ont été faits pour encadrer le recours à l’IA générative dans les universités.

Au printemps 2023, les universités étaient en mode « branle-bas de combat ». L’IA générative débarquait avec ses gros sabots dans les salles de cours comme ailleurs, soulevant tantôt la crainte, tantôt l’enthousiasme, dans le corps professoral.

Des comités de réflexion étaient mis sur pied, des forums de partage, créés. Pour marquer le coup, la ministre de l’Enseignement supérieur Pascale Déry avait organisé en mai une grande journée de réflexion commune sur les impacts de l’intelligence artificielle en enseignement postsecondaire.

Près de 1000 personnes ont participé à l’événement. La ministre disait alors se mettre en mode écouteOn va attendre d’avoir un état des lieux plus clair pour être capable d’intervenir après, car il faut se positionner, concluait-elle. Lire la suite…

Les candidatures sont connues

Les candidatures sont connues

La prochaine Assemblée générale du SCCC-UQO se déroulera le lundi 22 avril. Les personnes intéressée à briguer un poste avaient jusqu’au mercredi 17 avril à 16 h pour se manifester. Voici les candidatures reçues :

Conseil d’administration (1 poste substitut)
Catherine Béland

Sous-Commission des études (1 poste)
Moustapha Bennai

Comité santé, sécurité et prévention (1 poste)
Romain Vanhooren

Comité de discipline (1 poste)
Moustapha Bennai

Comité de surveillance des finances (2 postes)
Jonathan Gosselin
France Turcotte

Comité de la culture d’excellence en enseignement (1 poste)
Dominique Langlais
Mustapha Bennai

Vice-présidence à la Convention
Luce Gilbert, appuyée de Frédérique Wion et de Carole Paradis

Trésorerie
Jean-Yves Girard, appuyé de Farida Djoudi et de Alain Laberge

Lettre de présentation de Luce Gilbert

Chargée de cours à l’UQO depuis 2003

Vice-présidente à la Convention collective depuis 2012

Mon rôle dans ce poste est de fournir du soutien à nos membres, spécialement dans des situations difficiles. Je m’assure du respect de notre Convention collective. Je donne de l’information sur l’interprétation de notre Convention collective en m’assurant de faire les vérifications nécessaires auprès de notre conseiller syndical dans les situations litigieuses le cas échéant.

Je préside le Comité de relations de travail et suis assistée de deux agentes et d’un agent de relations de travail. Je rédige les griefs et essaie de les régler avant l’arbitrage. Si le Syndicat se rend à cette instance, c’est moi qui le représente.

Comités de négociation

J’ai participé aux comités de négociation de nos cinq dernières négociations collectives.

Représentante de notre Syndicat à des comités de la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ)

Je suis membre du Bureau fédéral de la FNEEQ depuis 2012 et participe aux réunions du regroupement université qui est composé de syndicats de personnes chargées de cours du Québec. Ces rencontres me permettent, entre autres, d’échanger sur les dispositions des diverses conventions collectives de personnes chargées de cours, de connaître les jurisprudences, les gains des arbitrages.

Représentante de notre Syndicat à la coalition citoyenne Équité Outaouais

L’objectif de cette coalition citoyenne est de mobiliser la population de l’Outaouais afin d’obtenir du gouvernement du Québec une augmentation des fonds consacrés dans les secteurs de l’éducation, de la santé, de la justice sociale et de la culture.

Pourquoi je sollicite un autre mandat à la vice-présidence à la Convention collective

Je suis à la retraite du gouvernement fédéral et j’ai du temps à consacrer à notre Syndicat. Le poste à la vice-présidence à la Convention collective demande beaucoup de disponibilités, d’écoute, de soutien. Je suis disponible et facile à joindre pour satisfaire à ces exigences. Je crois avoir encore beaucoup à apporter à notre Syndicat. J’aime aider nos membres et les rassurer lorsqu’ils vivent du stress dans leurs fonctions de personnes
chargées de cours.

Nous avons encore du travail à faire afin d’améliorer nos conditions de travail, par exemple, dans les processus d’attribution et d’annulation des charges de cours, l’appréciation de l’enseignement, la liberté académique, la formation à distance, l’intelligence artificielle.

J’espère que vous m’accorderez votre confiance pour un nouveau mandat au moment de l’élection du 22 avril 2024.

Luce Gilbert

Lettre de présentation de Dominique Langlais

Chères collègues,
Chers collègues,

Cette lettre vise à démontrer mon intérêt afin de renouveler mon mandat au sein du comité de la culture d’excellence en enseignement.

D’abord, je suis convaincu que mon bagage professionnel dans le domaine de l’enseignement constitue un atout précieux pour ce comité. Fort d’une expérience de plus de vingt ans dans l’enseignement, la pédagogie et l’accompagnement des personnes apprenantes, je suis en mesure d’apporter une valeur ajoutée significative. Mon parcours professionnel diversifié, comprenant une implication à différents niveaux d’enseignement ainsi que ma participation à divers comités pédagogiques, témoigne de ma polyvalence et de mon expertise. Mes pairs reconnaissent mon professionnalisme, caractérisé par des qualités telles que l’autonomie, l’initiative, l’efficacité, le sens critique, le respect des normes, la discrétion et le discernement. Mes compétences professionnelles sont également reconnues dans le milieu universitaire et sont mises à contribution dans divers projets de recherche et certaines publications scientifiques dans le domaine de
l’éducation, de la communication publique et du journalisme.

En terminant, je souhaite vous assurer qu’en m’accordant votre confiance de nouveau pour occuper ce poste au sein du comité de la culture d’excellence en enseignement, vous vous assurez d’un engagement total de ma part.

Je vous remercie de votre confiance renouvelée,

Dominique Langlais
Chargé de cours au Département des sciences de l’éducation

Lettre de présentation de France Turcotte

Bonjour Madame Béland,

Par la présente, je pose ma candidature afin de siéger sur le comité de
surveillance des finances.

Depuis quelques années déjà j’y siège. Je souhaite par ma candidature et mon
implication apporter mon soutien et ma contribution au SCCC-UQO.

Au plaisir de se voir lors de l’assemblée.

France Turcotte  M.Ed.
Chargée de cours
Sciences de l’éducation
Université du Québec en Outaouais

Lettre de présentation de Mustapha Bennai

Madame, Monsieur,

Je me permets de vous adresser ma candidature pour intégrer un des comités institutionnels parmi les
suivants : Le Comité de Discipline, le Comité de la Culture d’Excellence en Enseignement, ainsi que la
Sous-commission des Études.

Depuis 2015, j’ai eu le privilège d’exercer en tant que chargé de cours au sein de notre institution. Cette
expérience m’a permis de développer une profonde compréhension des enjeux éducatifs et institutionnels
auxquels nous sommes confrontés. De plus, ayant participé activement aux comités de programme de
doctorat pendant plusieurs années et étant également un ingénieur professionnel, j’ai acquis une perspective
holistique sur les défis et opportunités qui façonnent notre environnement académique.

Mon désir d’intégrer ces comités découle de ma volonté sincère de contribuer à l’amélioration continue de
notre institution. Fort de mon expérience tant en interne qu’en externe, je suis convaincu de pouvoir apporter
une valeur ajoutée significative à ces instances décisionnelles. Je suis fermement engagé à promouvoir une
culture d’excellence en enseignement, à garantir le respect des normes et des règlements établis et à
participer activement aux discussions et aux décisions du comité.

Je suis conscient de l’importance de trouver un équilibre entre les intérêts des étudiants et ceux des chargés
de cours. Cependant, je ne peux m’empêcher de remarquer une tendance à privilégier parfois les premiers
au détriment des seconds. Mon objectif en tant que membre de ce comité serait d’aborder cette question de
manière constructive, en favorisant le dialogue et en cherchant des solutions équilibrées qui bénéficient à
l’ensemble de la communauté universitaire.

Je suis convaincu que ma passion pour l’enseignement, mon expérience professionnelle diversifiée et mon
engagement envers l’amélioration continue font de moi un candidat idéal pour contribuer efficacement aux
comités institutionnels de notre établissement. Je suis également ouvert à toute formation ou orientation
supplémentaire qui pourrait être nécessaire pour remplir efficacement les fonctions qui me seront confiées.
Je vous remercie vivement de l’attention que vous porterez à ma candidature et je me tiens à votre
disposition pour toute information complémentaire ou pour un entretien.

Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

Mustapha Bennai
Chargé de cours
DII
UQO