Si vous ou votre famille éprouvez une difficulté qui devient un problème, l’Université met gratuitement à la disposition des personnes chargées de cours inscrites sur la liste de pointage de priorité, ayant cumulé six (6) trimestres et 90 heures d’enseignement (deux [2] charges de cours), un programme d’aide aux employés et à leur famille (PAEF).
Géré par Homewood Santé, ce programme vous donne accès à une équipe professionnelle multidisciplinaire afin de vous aider dans vos défis de santé physique (alimentation, tabac, etc.) et psychologique (deuil, victimes d’agression, etc.), d’équilibre de vie (conseils juridiques et financiers, problèmes de couple, etc.) et de carrière (planification de la retraite, gestion de la précarité, réorientation de carrière, etc.).
Ce service est gratuit et confidentiel. L’Employeur n’est pas mis au courant des démarches entreprises auprès de Homewood Santé.
Pour vous prévaloir de ce programme, communiquez avec Homewood Santé :
au 1 866 398-9505 à toute heure du jour ou de la nuit, 365 jours par année. Une aide immédiate est également offerte en cas d’urgence. au 1 866 433-3305 si vous êtes malentendants. au 1 514 875-0720 à frais virés si vous êtes à l’extérieur de l’Amérique du Nord. Vous trouverez également toute l’information sur le site de l’UQO à PAEF
La CSN déplore que le gouvernement Legault crée une diversion en s’attaquant aux droits des travailleuses et des travailleurs plutôt que de répondre aux préoccupations de la population. Cette ingérence dans les affaires syndicales vise à faire oublier l’inaction gouvernementale sur des priorités comme l’accès aux services publics et la crise du logement.
Une nouvelle attaque aux droits des travailleuses et des travailleurs Le gouvernement Legault dépose aujourd’hui la Loi visant à améliorer la transparence, la gouvernance et le processus démocratique de diverses associations en milieu de travail. Au plus bas dans les intentions de vote, le gouvernement espère qu’une bonne chicane avec les syndicats lui permette de se relancer. Pour la CSN, ce projet de loi montre à quel point le gouvernement est désespéré. Lire la suite…
La troisième séance de négociation, qui s’est déroulée le vendredi 31 octobre, s’est tenue dans un climat respectueux. La partie patronale a consacré cette rencontre à questionner le Syndicat sur son dépôt normatif. Pendant plus de trois heures, nous avons expliqué le sens de nos propositions qui visent notamment à renforcer la stabilité d’emploi, à reconnaître notre expertise professionnelle et à assurer des conditions d’enseignement dignes et cohérentes avec la réalité du travail universitaire.
Cette étape était nécessaire pour clarifier nos positions et rappeler les valeurs qui guident notre démarche : respect, équité et reconnaissance. Nous avons insisté sur le fait que la qualité de l’enseignement à l’UQO repose sur l’engagement des personnes chargées de cours qui méritent un statut à la hauteur de leur contribution.
Lors de la prochaine rencontre, ce sera à notre tour de poser des questions sur les demandes de l’UQO. Cet échange sera crucial pour comprendre les intentions de la partie patronale et évaluer les impacts concrets de ses propositions sur nos conditions de travail et notre rôle au sein de l’Université.
Après cette prochaine séance, nous serons en mesure de vous présenter les principales demandes patronales ainsi que notre analyse de leurs conséquences probables.
Plus que jamais, notre objectif demeure clair : prendre notre place en enseignement et en recherche, défendre la valeur de notre travail et bâtir notre université.
Dans les cartons depuis de nombreuses années et d’abord évoqué à l’époque du gouvernement Charest, le projet d’unification des deux campus de l’Université du Québec en Outaouais (UQO) en sol gatinois dans la forme qu’on le connaissait est abandonné, a appris Le Droit.
L’établissement d’enseignement supérieur souhaitait depuis déjà de nombreuses années rapatrier tous ses étudiants de Gatineau sur le même site en concentrant toutes les activités universitaires au campus Alexandre-Taché, notamment en construisant ou en agrandissant un pavillon sur ce terrain. Elle se serait donc départie du campus Lucien-Brault, acquis il y a 35 ans et situé un kilomètre et demi plus loin, sur la rue Saint-Jean-Bosco.
Or, voilà que le projet qui avait fait l’objet d’un dossier d’opportunité et dont le montage financier avait été complété au printemps 2022 – l’ex-ministre Danielle McCann en avait alors fait l’annonce à Gatineau – est abandonné dans la forme qu’on le connaissait. Lire la suite…
Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO (SCCC-UQO) offre désormais une tasse unique, façonnée à la main, aux personnes chargées de cours qui participent aux activités syndicales dans le cadre de la présente négociation. Ce geste symbolique souligne la valeur de notre travail : un savoir-faire humain, artisanal et singulier, à contre-courant du travail à la chaîne et des logiques automatisées qui se multiplient à l’ère de l’intelligence artificielle.
Chaque tasse, réalisée parAnicka Filiatrault, céramiste formée en travail social à l’UQO de Saint-Jérôme, incarne la rencontre entre engagement, créativité et autonomie professionnelle. Comme elle l’explique :
« Je me suis finalement tournée vers la céramique pour créer et partager ma passion. Chaque tasse de ce projet suit une ligne directrice, mais aucune n’est identique. Elles portent les marques de leur fabrication, rappelant le travail humain derrière l’objet. À l’image des chargées et chargés de cours qui marquent le parcours de générations étudiantes, mes doigts laissent leur trace dans l’argile. Chaque tasse devient ainsi une pièce singulière et unique. »
Offerte dans le cadre des activités syndicales, cette tasse illustre à merveille l’esprit du SCCC-UQO : reconnaître la contribution essentielle des personnes chargées de cours à la vie universitaire, valoriser leur autonomie et leur engagement, et rappeler que l’enseignement est avant tout une œuvre humaine, faite de passion, de rigueur et de soin.
À travers cette initiative, nous affirmons une fois de plus notre volonté de prendre notre place à l’UQO : pleinement, fièrement, collectivement et solidairement.
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