Des étudiants de l’Université d’Ottawa et de l’Université du Québec en Outaouais (UQO) craignent d’être accusés à tort de plagiat lié à l’utilisation d’outils d’intelligence artificielle.
Alors que Radio-Canada révélait cette semaine que l’Université d’Ottawa n’a pas de politique spécifique pour encadrer le plagiat par l’IA et que l’Université du Québec en Outaouais reconnaissait devoir en faire plus, le président de l’Association générale des étudiantes et étudiants de l’UQO (AGE), Oumar Fofana, s’inquiète des conséquences possibles de faux positifs
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C’est vraiment de la supposition. C’est aussi le levier par lequel nous, nous défendons nos étudiants. Parce qu’il n’y a pas d’outils [de détection] qui puissent être fiables à 100 %.
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