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L’écriture inclusive continue de créer des remous sur les campus universitaires. La décision d’une revue de sociologie de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) d’imposer la féminisation des textes relance le débat sur ce type d’écriture visant à combattre les inégalités fondées sur le genre. Un objectif louable, mais qui défigure la langue française, selon ses détracteurs.

La revue étudiante Sessions sociologiques exige désormais que ses auteurs utilisent « l’écriture inclusive selon la méthode du point médian explicitée dans le guide d’écriture inclusive de FéminÉtudes, revue étudiante, féministe et multidisciplinaire ».

Cette technique d’écriture donne lieu à des formulations comme gentil·le, violet·te, doux·ce, roux·sse, merveilleux·se, mystérieux·se, auteur·rice·s ou encore professeur·e·s. L’usage de pronoms comme iel, celleux ou ceuzes est aussi recommandé. Lire la suite…