par Nicolas Harvey | 23 Avr 2025
Chères collègues,
Chers collègues,
Je suis chargée de cours à l’UQO depuis 2013. Je suis engagée dans la vie de notre syndicat depuis près de dix ans. J’ai commencé mon implication au Comité de la condition féminine et au Comité consultatif en prévention des violences à caractère sexuel, puisque cela rejoignait mes valeurs et mon engagement à lutter contre les inégalités et la violence faite aux femmes. Depuis avril 2019, je suis secrétaire générale du SCCC-UQO. C’est la vie syndicale et le désir d’une plus grande visibilité de la réalité du campus de Saint-Jérôme qui m’ont inspiré à un engagement et une plus grande participation auprès du SCCC-UQO. Depuis, je continue d’apprendre sur les procédures et fonctionnements d’un syndicat. Je suis représentante, élue en juin 2024, au Comité Femmes de la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec affiliée à la CSN. Cela me permet de réfléchir aux différents enjeux reliés aux différentes conditions des femmes, notamment en ce qui concerne les enjeux d’implications syndicales.
Étant chargée de cours dans deux départements (psychoéducation et psychologie ainsi qu’en travail social), mais également superviseure de stage, je peux comprendre les différents enjeux ou problématiques vécus par nos membres. Et cela, sans compter que je jongle avec les défis et réalités d’une conciliation travail-famille. De plus, avec trois congés de maternité vécus à l’UQO, je suis bien placée pour guider les futurs parents en lien avec leur questionnement en lien avec nos conditions de travail.
Enfin, je sollicite un quatrième mandat comme secrétaire générale du SCCC-UQO. Je compte poursuivre mon engagement, afin de permettre une visibilité des réalités vécues au Campus de Saint-Jérôme au sein de l’exécutif et du syndicat, mais aussi pour améliorer nos conditions de travail.
Catherine Béland
par Nicolas Harvey | 23 Avr 2025
Bonjour chers collègues de St-Jérôme, Montréal et Gatineau. Merci à toutes et à tous de vous impliquer dans l’action syndicale du SCCC-UQO!
Je suis chargé de cours à l’UQO au Département des sciences administratives depuis plus de 20 ans, principalement dans le domaine du marketing et de commerce international.
J’ai le plaisir de vous proposer ma candidature pour le comité de discipline.
J’ai déjà été membre de ce comité dans le passé pendant plusieurs années et j’ai beaucoup apprécié l’expérience.
Au niveau de mon implication syndicale, je suis actuellement membre des comités suivants :
Comité des Études
Comité de mobilisation
Représentant au module des Sciences administratives
Représentant au département des Sciences administratives
Mon expérience syndicale passée
Comité exécutif, secrétaire général
Comité de négociations
Comité universitaire d’intégration pédagogique
Comité d’orientation académique du site Web
Comité de discipline
Comité de surveillance des finances
Comité sur l’intégrité dans les études et la prévention du plagiat
Étant retraité de mon emploi principal j’ai aussi la disponibilité requise pour assister aux réunions qui se tiennent habituellement pendant les heures de travail.
Merci par avance de m’accorder votre confiance.
Excellente fin de session à toutes et à tous!
par Nicolas Harvey | 23 Avr 2025
Ça devait être un petit congrès scientifique, à Québec, où des spécialistes s’échangeraient leurs dernières découvertes sur les jeunes stades de vie des poissons. Pas trop, trop controversé. Jusqu’à ce que Donald Trump prenne le pouvoir.
Au fil des semaines, le professeur en océanographie Dominique Robert, organisateur du congrès, a compris qu’il y avait anguille sous roche. Les uns après les autres, d’éminents collègues américains se désistaient.
Au total, une quinzaine d’entre eux ont renoncé à faire le voyage à Québec, où aura lieu le congrès de l’American Fisheries Society, en juin. Ça représente le tiers des participants américains, calcule Dominique Robert, professeur à l’Institut des sciences de la mer de l’Université du Québec à Rimouski. « Il va nous manquer un gros morceau. D’un point de vue scientifique, ça fait mal. »
Les Américains ont vaguement justifié leur désistement, comme s’ils hésitaient à se confier. Puis, la semaine dernière, Dominique Robert a croisé un collègue du Maine qui lui a tout déballé. En gros : « Les gens ont peur. » Lire la suite…
par Nicolas Harvey | 23 Avr 2025
L’ex-directeur général de la TELUQ Martin Noël a proposé à de hauts fonctionnaires de continuer de contourner la loi afin que des étudiants obtiennent des prêts et bourses, même s’il avait été avisé que cette pratique n’était pas conforme à la loi.
Une série de correspondances obtenues par Le Devoir font état de cette proposition étonnante. Dans une lettre envoyée à M. Noël le 20 juillet 2018, le sous-ministre adjoint à l’Aide financière aux études, Jean-Claude Labelle, ramène l’université à l’ordre.
« Nous avons été informés que la TELUQ confirme l’admission des étudiants dans des programmes de baccalauréat où ils poursuivent des études à temps plein alors qu’ils sont admis à la TELUQ dans des programmes courts où ils étudient à temps partiel », écrit M. Labelle. Il fait ensuite référence à une personne qui « nous a demandé, lors de notre entretien téléphonique, s’il était possible de continuer cette pratique pour la prochaine session ». Le nom de la personne en question a été caviardé par le ministère de l’Éducation, à qui Le Devoir a demandé les échanges.
M. Noël n’a pas souhaité répondre aux questions du Devoir à ce sujet, en rappelant avoir signé une entente de confidentialité dans cette affaire, pour laquelle il a été dédommagé à hauteur de 260 000 $ par l’Université du Québec. Lire la suite…
par Nicolas Harvey | 23 Avr 2025
Tricher à l’école, c’est… payant ? En tout cas, une application en ligne qui se présente comme « l’IA invisible pour tricher dans tout », des examens scolaires aux entrevues d’embauche, vient de frapper le gros lot.
Cluely – c’est son nom – vient de récolter 5,3 millions US (7,3 millions CAN) de deux investisseurs californiens. Chungin Lee, son cofondateur âgé de 21 ans, la décrit comme un service de tricherie sur mesure et à volonté.
Lee a eu l’idée derrière Cluely pendant ses études à l’Université Columbia, à New York. Avec un ami, il a mis au point un outil pour « tricher » durant ses entrevues d’embauche pour devenir programmeur informatique. Cluely a vraiment pris forme le jour où l’université a expulsé les deux larrons, après avoir découvert le stratagème.
« Nous avons créé Cluely pour que vous n’ayez plus à penser à tout vous-mêmes », assurent-ils dans la description de leur nouvelle application web. « [L’intelligence artificielle] voit votre écran. Entends votre conversation. Vous refile des réponses en temps réel. Pendant que d’autres essaient de la deviner, vous avez déjà la réponse. »
En d’autres mots, Cluely, c’est l’IA générative qui sort du placard. On savait que ChatGPT, Grok et les autres étaient des auteurs fantômes très populaires aussi bien à l’école qu’au bureau, mais personne jusqu’ici n’en avait fait le modèle d’affaires central de ces technologies. Lire la suite…