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Lettre de présentation de Pascal Sergent

Bonjour chers collègues de St-Jérôme, Montréal et Gatineau. Merci à toutes et à tous de vous impliquer dans l’action syndicale du SCCC-UQO!

Je suis chargé de cours à l’UQO au Département des sciences administratives depuis plus de 20 ans, principalement dans le domaine du marketing et de commerce international.

J’ai le plaisir de vous proposer ma candidature pour le comité de discipline.

J’ai déjà été membre de ce comité dans le passé pendant plusieurs années et j’ai beaucoup apprécié l’expérience.

Au niveau de mon implication syndicale, je suis actuellement membre des comités suivants :

Comité des Études

Comité de mobilisation

Représentant au module des Sciences administratives

Représentant au département des Sciences administratives

Mon expérience syndicale passée

Comité exécutif, secrétaire général

Comité de négociations

Comité universitaire d’intégration pédagogique

Comité d’orientation académique du site Web

Comité de discipline

Comité de surveillance des finances

Comité sur l’intégrité dans les études et la prévention du plagiat

Étant retraité de mon emploi principal j’ai aussi la disponibilité requise pour assister aux réunions qui se tiennent habituellement pendant les heures de travail.

Merci par avance de m’accorder votre confiance.

Excellente fin de session à toutes et à tous!

Il faut sauver les scientifiques américains

Ça devait être un petit congrès scientifique, à Québec, où des spécialistes s’échangeraient leurs dernières découvertes sur les jeunes stades de vie des poissons. Pas trop, trop controversé. Jusqu’à ce que Donald Trump prenne le pouvoir.

Au fil des semaines, le professeur en océanographie Dominique Robert, organisateur du congrès, a compris qu’il y avait anguille sous roche. Les uns après les autres, d’éminents collègues américains se désistaient.

Au total, une quinzaine d’entre eux ont renoncé à faire le voyage à Québec, où aura lieu le congrès de l’American Fisheries Society, en juin. Ça représente le tiers des participants américains, calcule Dominique Robert, professeur à l’Institut des sciences de la mer de l’Université du Québec à Rimouski. « Il va nous manquer un gros morceau. D’un point de vue scientifique, ça fait mal. »

Les Américains ont vaguement justifié leur désistement, comme s’ils hésitaient à se confier. Puis, la semaine dernière, Dominique Robert a croisé un collègue du Maine qui lui a tout déballé. En gros : « Les gens ont peur. » Lire la suite…

La TELUQ voulait continuer de contourner les règles

L’ex-directeur général de la TELUQ Martin Noël a proposé à de hauts fonctionnaires de continuer de contourner la loi afin que des étudiants obtiennent des prêts et bourses, même s’il avait été avisé que cette pratique n’était pas conforme à la loi.

Une série de correspondances obtenues par Le Devoir font état de cette proposition étonnante. Dans une lettre envoyée à M. Noël le 20 juillet 2018, le sous-ministre adjoint à l’Aide financière aux études, Jean-Claude Labelle, ramène l’université à l’ordre.

« Nous avons été informés que la TELUQ confirme l’admission des étudiants dans des programmes de baccalauréat où ils poursuivent des études à temps plein alors qu’ils sont admis à la TELUQ dans des programmes courts où ils étudient à temps partiel », écrit M. Labelle. Il fait ensuite référence à une personne qui « nous a demandé, lors de notre entretien téléphonique, s’il était possible de continuer cette pratique pour la prochaine session ». Le nom de la personne en question a été caviardé par le ministère de l’Éducation, à qui Le Devoir a demandé les échanges.

M. Noël n’a pas souhaité répondre aux questions du Devoir à ce sujet, en rappelant avoir signé une entente de confidentialité dans cette affaire, pour laquelle il a été dédommagé à hauteur de 260 000 $ par l’Université du Québec. Lire la suite…

Intelligence artificielle Une « IA invisible » pour tricher partout, tout le temps

Tricher à l’école, c’est… payant ? En tout cas, une application en ligne qui se présente comme « l’IA invisible pour tricher dans tout », des examens scolaires aux entrevues d’embauche, vient de frapper le gros lot.

Cluely – c’est son nom – vient de récolter 5,3 millions US (7,3 millions CAN) de deux investisseurs californiens. Chungin Lee, son cofondateur âgé de 21 ans, la décrit comme un service de tricherie sur mesure et à volonté.

Lee a eu l’idée derrière Cluely pendant ses études à l’Université Columbia, à New York. Avec un ami, il a mis au point un outil pour « tricher » durant ses entrevues d’embauche pour devenir programmeur informatique. Cluely a vraiment pris forme le jour où l’université a expulsé les deux larrons, après avoir découvert le stratagème.

« Nous avons créé Cluely pour que vous n’ayez plus à penser à tout vous-mêmes », assurent-ils dans la description de leur nouvelle application web. « [L’intelligence artificielle] voit votre écran. Entends votre conversation. Vous refile des réponses en temps réel. Pendant que d’autres essaient de la deviner, vous avez déjà la réponse. »

En d’autres mots, Cluely, c’est l’IA générative qui sort du placard. On savait que ChatGPT, Grok et les autres étaient des auteurs fantômes très populaires aussi bien à l’école qu’au bureau, mais personne jusqu’ici n’en avait fait le modèle d’affaires central de ces technologies. Lire la suite…

La TELUQ a manœuvré pour que des étudiants obtiennent des millions en bourses en trop

Dans une manœuvre qui a coûté des dizaines de millions de dollars au gouvernement du Québec, la TELUQ a fait passer des réfugiés syriens inscrits à des cours de langue pour des étudiants au baccalauréat afin qu’ils obtiennent des prêts et des bourses auxquels ils n’avaient pourtant pas droit.

Dans la foulée de cette affaire, l’ex-directeur général de la TELUQ, Martin Noël, a été suspendu en juillet 2018 par l’ex-ministre libérale Hélène David. M. Noël a ensuite été réhabilité en 2019 et dédommagé à hauteur de 260 000 $ par l’Université du Québec — le réseau dont fait partie la TELUQ — en vertu d’une entente confidentielle.

Le ministre de l’Éducation de l’époque, Jean-François Roberge, avait alors dit de cette histoire qu’elle avait été « un peu gonflé[e] sous le précédent gouvernement ». M. Roberge n’a pas voulu revenir sur l’affaire dans le cadre de cet article. Lire la suite…