C’est une tradition! Comme chaque année, le Syndicat organise son souper de Noël. L’activité aura lieu le vendredi 5 décembre à 18 h au restaurant L’Orée du bois à Chelsea. Cette activité est gratuite mais les places sont limitées! Dépêchez-vous de vous y inscrire en remplissant le formulaire électronique!
Notez qu’un souper des fêtes sera également organisé dans les Laurentides en janvier prochain. Les détails suivront.
Le Comité de mobilisation du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO dévoile aujourd’hui son slogan de négociation : « Prendre notre place à l’UQO ».
Ce message s’inscrit dans un contexte où les personnes chargées de cours revendiquent une pleine reconnaissance de leur contribution essentielle à la mission d’enseignement universitaire, de recherche et de création. Le mot « notre », tracé à la main par notre collègue Michel Sabbagh, évoque un enseignement artisanal, humain et engagé, à rebours d’une approche industrialisée ou automatisée du savoir à l’ère de l’intelligence artificielle.
« Prendre notre place », c’est aussi affirmer notre volonté de participer pleinement à la vie universitaire — en enseignement comme en recherche — et de renforcer une collégialité plus inclusive. C’est revendiquer un espace de dialogue et de respect, notamment face à certaines décisions unilatérales de l’employeur touchant les appréciations de l’enseignement ou les modes d’évaluation.
Enfin, ce slogan traduit notre aspiration à une plus grande stabilité d’emploi et à une université qui reconnaît réellement la diversité et la complémentarité de tous ses corps d’emplois. L’UQO ne serait rien sans nous!
La deuxième séance de négociation s’est déroulée le 10 octobre et a permis à la partie patronale de présenter ses grands axes et d’expliquer de manière générale les orientations qu’elle souhaite explorer. La Partie syndicale demeure ouverte à discuter des préoccupations de l’employeur et de trouver des solutions aux problèmes soulevés.
Cela dit, certains éléments amenés soulèvent des inquiétudes. La Partie syndicale perçoit dans les axes de la partie patronale une certaine menace à la stabilisation de l’emploi. La précarité est déjà trop présente dans notre université! Nous attendons donc avec impatience les demandes précises de l’UQO!
Le Syndicat souhaite que la suite des échanges permette de dissiper ces craintes et de recentrer la discussion sur un objectif commun : assurer une plus grande stabilité d’emploi et une reconnaissance à la hauteur de la contribution essentielle des personnes chargées de cours à la vie académique de l’UQO. La prochaine rencontre, prévue le 31 octobre, permettra d’en savoir davantage, alors que la partie patronale déposera ses demandes précises.
En parallèle, le Comité de mobilisation est prêt à réagir si les demandes patronales étaient jugées inacceptables.
Le 6 octobre dernier, Luce Gilbert, vice-présidente à la Convention collective, et Nicolas Harvey, vice-président aux communications, ont rencontré le député André Fortin, porte-parole de l’opposition officielle en matière d’Enseignement supérieur, afin d’échanger sur la question de l’intégrité des études et de la valeur des diplômes.
La rencontre, qui s’est tenue à son bureau de circonscription d’Aylmer, s’est déroulée dans un climat d’écoute. Nous avons profité de cette occasion pour présenter trois enjeux qui, à l’UQO, compromettent selon nous la rigueur et la crédibilité du processus d’évaluation.
D’abord, le droit d’entrée et de sortie sans justificatif pendant les examens en salle fragilise la surveillance et ouvre la porte à des situations d’iniquité entre les étudiantes et étudiants.
Ensuite, le manque de consignes claires quant à l’obligation de maintenir la caméra allumée pendant les examens en ligne empêche toute vérification efficace du respect des consignes et de l’identité de la personne étudiante.
Enfin, l’impossibilité actuelle de tenir des examens en classe pour les cours offerts à distance prive le corps enseignant d’un outil essentiel pour assurer l’intégrité des évaluations.
Nous avons insisté sur le fait que ces mesures, bien qu’elles puissent sembler favorables à la flexibilité, posent des risques sérieux pour la valeur des diplômes universitaires et pour la confiance du public envers notre institution. M. Fortin s’est montré attentif à ces préoccupations.
D’autres rencontres politiques sont prévues prochainement.
La santé psychologique au travail est l’affaire de toutes et de tous. C’est pourquoi nous organisons deux activités dans le cadre de la Semaine nationale de la santé et de la sécurité au travail. Ainsi, autour d’un verre ou d’un repas, nos deux agentes de relations de travail, Farida Djoudi et Ghyslaine Lévesques, animeront une discussion sur le sujet. Cette activité est entièrement gratuite! Toutefois, la réservation est obligatoire.
À Saint-Jérôme : le mardi 21 octobre de 11 h 30 à 12 h 30 au local JS115. Une boîte à lunch est offerte aux participantes et aux participants.
À Gatineau : le mercredi 22 octobre de 17 h à 19 h au Tonik. Deux consommations et des bouchées sont offertes aux participantes et aux participants.
Par ailleurs, ces événements seront l’occasion de lancer le slogan de la négociation de la Convention collective. Notre objet de mobilisation y sera également dévoilé et offert aux participantes et aux participants!
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