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Aucune personne chargée de cours n’est impliquée dans l’affaire de l’étudiante diabétique

Aucune personne chargée de cours n’est impliquée dans l’affaire de l’étudiante diabétique

En entrevue au 104.7, radio Cogeco de l’Outaouais, la rectrice de l’UQO affirmait le 24 septembre dernier que c’est une personne chargée de cours qui aurait empêché l’étudiante diabétique de sortir de la classe pour manger.

Or, le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO (SCCC-UQO) n’a jamais reçu de convocation pour enquête disciplinaire d’un de ses membres. Pourtant, selon la Convention collective, le Syndicat doit être mis en copie des convocations disciplinaires.

Le SCCC-UQO a même dû faire une demande d’accès à l’information pour tenter de connaître les détails de l’événement, demande qui a été rejetée par l’UQO.

Nous avons toutefois appris récemment qu’aucune personne chargée de cours n’était impliquée dans cette histoire. C’est plutôt une professeure de l’UQO qui serait impliquée. Comme ce n’est pas une de nos membres, nous ne pouvons pas obtenir de détails sur les supposés événements.

Nous tenions donc à rectifier les faits.

«La manne» des étudiants internationaux, en Ontario comme au Québec

À l’échelle du pays, le Québec se démarque en matière d’accessibilité aux études supérieures. Mais pour combien de temps encore ? Troisième et dernier article d’une série sur l’évolution des droits de scolarité dans la province et ailleurs au pays.

Au Québec comme en Ontario, les droits de scolarité imposés aux étudiants internationaux poursuivant des études universitaires de premier cycle ont bondi de 80 % en 10 ans, a constaté Le Devoir. Une situation qui fait écho aux défis financiers majeurs que rencontrent les universités dans ces deux provinces, selon des experts.

Aux prises avec des défis financiers croissants, les universités ontariennes n’ont pas hésité à augmenter de façon importante les droits de scolarité qu’elles imposent aux étudiants internationaux, qui sont exempts du gel de ces droits en vigueur depuis 2019 dans cette province. Résultat : alors que les frais imposés aux étudiants canadiens de premier cycle en Ontario ont augmenté de 14 % depuis 2015, ils ont grimpé de 80 % pour les étudiants internationaux au même niveau d’études, montrent des données de Statistique Canada. Lire la suite…

Y a-t-il un programme d’aide aux personnes chargées de cours et à leur famille?

Y a-t-il un programme d’aide aux personnes chargées de cours et à leur famille?

Si vous ou votre famille éprouvez une difficulté qui devient un problème, l’Université met gratuitement à la disposition des personnes chargées de cours inscrites sur la liste de pointage de priorité, ayant cumulé six (6) trimestres et 90 heures d’enseignement (deux [2] charges de cours), un programme d’aide aux employés et à leur famille (PAEF).

Géré par Homewood Santé, ce programme vous donne accès à une équipe professionnelle multidisciplinaire afin de vous aider dans vos défis de santé physique (alimentation, tabac, etc.) et psychologique (deuil, victimes d’agression, etc.), d’équilibre de vie (conseils juridiques et financiers, problèmes de couple, etc.) et de carrière (planification de la retraite, gestion de la précarité, réorientation de carrière, etc.).

Ce service est gratuit et confidentiel. L’Employeur n’est pas mis au courant des démarches entreprises auprès de Homewood Santé.

Pour vous prévaloir de ce programme, communiquez avec Homewood Santé :

au 1 866 398-9505 à toute heure du jour ou de la nuit, 365 jours par année. Une aide immédiate est également offerte en cas d’urgence.
au 1 866 433-3305 si vous êtes malentendants.
au 1 514 875-0720 à frais virés si vous êtes à l’extérieur de l’Amérique du Nord.
Vous trouverez également toute l’information sur le site de l’UQO à PAEF

Attaquer les travailleuses et travailleurs pour masquer l’échec d’un gouvernement périmé

La CSN déplore que le gouvernement Legault crée une diversion en s’attaquant aux droits des travailleuses et des travailleurs plutôt que de répondre aux préoccupations de la population. Cette ingérence dans les affaires syndicales vise à faire oublier l’inaction gouvernementale sur des priorités comme l’accès aux services publics et la crise du logement.

Une nouvelle attaque aux droits des travailleuses et des travailleurs
Le gouvernement Legault dépose aujourd’hui la Loi visant à améliorer la transparence, la gouvernance et le processus démocratique de diverses associations en milieu de travail. Au plus bas dans les intentions de vote, le gouvernement espère qu’une bonne chicane avec les syndicats lui permette de se relancer. Pour la CSN, ce projet de loi montre à quel point le gouvernement est désespéré. Lire la suite…

Bilan de la troisième journée de négociation

Bilan de la troisième journée de négociation

La troisième séance de négociation, qui s’est déroulée le vendredi 31 octobre, s’est tenue dans un climat respectueux. La partie patronale a consacré cette rencontre à questionner le Syndicat sur son dépôt normatif. Pendant plus de trois heures, nous avons expliqué le sens de nos propositions qui visent notamment à renforcer la stabilité d’emploi, à reconnaître notre expertise professionnelle et à assurer des conditions d’enseignement dignes et cohérentes avec la réalité du travail universitaire.

Cette étape était nécessaire pour clarifier nos positions et rappeler les valeurs qui guident notre démarche : respect, équité et reconnaissance. Nous avons insisté sur le fait que la qualité de l’enseignement à l’UQO repose sur l’engagement des personnes chargées de cours qui méritent un statut à la hauteur de leur contribution.

Lors de la prochaine rencontre, ce sera à notre tour de poser des questions sur les demandes de l’UQO. Cet échange sera crucial pour comprendre les intentions de la partie patronale et évaluer les impacts concrets de ses propositions sur nos conditions de travail et notre rôle au sein de l’Université.

Après cette prochaine séance, nous serons en mesure de vous présenter les principales demandes patronales ainsi que notre analyse de leurs conséquences probables.

Plus que jamais, notre objectif demeure clair : prendre notre place en enseignement et en recherche, défendre la valeur de notre travail et bâtir notre université.