Fort d’un mandat de son Assemblée générale, le SCCC-UQO appuie le mouvement pour la rémunération des stages. Nous considérons que tout travail doit être rémunéré. C’est aussi un combat féministe! En effet, la majorité des stages non rémunérés sont dans des domaines traditionnellement féminins. Les stagiaires ne demandent pas que la rémunération. Être salarié est aussi une revendication afin d’obtenir les même droits et les mêmes protections que toutes les travailleuses et que tous les travailleurs.
En plus d’être à leurs côtés pendant les manifestations, le SCCC-UQO leur a offert café et chocolat chaud. De plus, nous les avons appuyer en contribuant à la confection d’objets de visibilité, notamment avec notre presse à macarons.
Ce mouvement devrait prendre de l’ampleur au trimestre d’hiver 2026. Nous répondrons encore présent si on nous demande notre appui! Solidarité!
En entrevue au 104.7, radio Cogeco de l’Outaouais, la rectrice de l’UQO affirmait le 24 septembre dernier que c’est une personne chargée de cours qui aurait empêché l’étudiante diabétique de sortir de la classe pour manger.
Or, le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO (SCCC-UQO) n’a jamais reçu de convocation pour enquête disciplinaire d’un de ses membres. Pourtant, selon la Convention collective, le Syndicat doit être mis en copie des convocations disciplinaires.
Le SCCC-UQO a même dû faire une demande d’accès à l’information pour tenter de connaître les détails de l’événement, demande qui a été rejetée par l’UQO.
Nous avons toutefois appris récemment qu’aucune personne chargée de cours n’était impliquée dans cette histoire. C’est plutôt une professeure de l’UQO qui serait impliquée. Comme ce n’est pas une de nos membres, nous ne pouvons pas obtenir de détails sur les supposés événements.
À l’échelle du pays, le Québec se démarque en matière d’accessibilité aux études supérieures. Mais pour combien de temps encore ? Troisième et dernier article d’une série sur l’évolution des droits de scolarité dans la province et ailleurs au pays.
Au Québec comme en Ontario, les droits de scolarité imposés aux étudiants internationaux poursuivant des études universitaires de premier cycle ont bondi de 80 % en 10 ans, a constaté Le Devoir. Une situation qui fait écho aux défis financiers majeurs que rencontrent les universités dans ces deux provinces, selon des experts.
Aux prises avec des défis financiers croissants, les universités ontariennes n’ont pas hésité à augmenter de façon importante les droits de scolarité qu’elles imposent aux étudiants internationaux, qui sont exempts du gel de ces droits en vigueur depuis 2019 dans cette province. Résultat : alors que les frais imposés aux étudiants canadiens de premier cycle en Ontario ont augmenté de 14 % depuis 2015, ils ont grimpé de 80 % pour les étudiants internationaux au même niveau d’études, montrent des données de Statistique Canada. Lire la suite…
Si vous ou votre famille éprouvez une difficulté qui devient un problème, l’Université met gratuitement à la disposition des personnes chargées de cours inscrites sur la liste de pointage de priorité, ayant cumulé six (6) trimestres et 90 heures d’enseignement (deux [2] charges de cours), un programme d’aide aux employés et à leur famille (PAEF).
Géré par Homewood Santé, ce programme vous donne accès à une équipe professionnelle multidisciplinaire afin de vous aider dans vos défis de santé physique (alimentation, tabac, etc.) et psychologique (deuil, victimes d’agression, etc.), d’équilibre de vie (conseils juridiques et financiers, problèmes de couple, etc.) et de carrière (planification de la retraite, gestion de la précarité, réorientation de carrière, etc.).
Ce service est gratuit et confidentiel. L’Employeur n’est pas mis au courant des démarches entreprises auprès de Homewood Santé.
Pour vous prévaloir de ce programme, communiquez avec Homewood Santé :
au 1 866 398-9505 à toute heure du jour ou de la nuit, 365 jours par année. Une aide immédiate est également offerte en cas d’urgence. au 1 866 433-3305 si vous êtes malentendants. au 1 514 875-0720 à frais virés si vous êtes à l’extérieur de l’Amérique du Nord. Vous trouverez également toute l’information sur le site de l’UQO à PAEF
La CSN déplore que le gouvernement Legault crée une diversion en s’attaquant aux droits des travailleuses et des travailleurs plutôt que de répondre aux préoccupations de la population. Cette ingérence dans les affaires syndicales vise à faire oublier l’inaction gouvernementale sur des priorités comme l’accès aux services publics et la crise du logement.
Une nouvelle attaque aux droits des travailleuses et des travailleurs Le gouvernement Legault dépose aujourd’hui la Loi visant à améliorer la transparence, la gouvernance et le processus démocratique de diverses associations en milieu de travail. Au plus bas dans les intentions de vote, le gouvernement espère qu’une bonne chicane avec les syndicats lui permette de se relancer. Pour la CSN, ce projet de loi montre à quel point le gouvernement est désespéré. Lire la suite…
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