Il y aurait plus de 200 membres de ces réseaux criminels qui vivent actuellement au Québec, et dans 80 % des cas, ils exploitent des failles liées aux visas étudiants pour entrer sur le territoire. Ils choisissent généralement des universités en région, dont l’UQAC, mais aussi l’Université du Québec à Trois-Rivières, pour finalement ne jamais fréquenter les établissements.
Selon IRCC, comme l’éducation est de compétence provinciale, la responsabilité de vérification de la présence en classe des étudiants étrangers relève des établissements. Une réponse effarante
, selon le député bloquiste de Lac-Saint-Jean, Alexis Brunelle-Duceppe. Lire la suite…