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Le 26 novembre 2019, le SCCC-UQO dénonçait la menace de sanctions de l’Université contre les employées et les employés qui ne suivaient pas la formation pour combattre et prévenir les violences à caractère sexuel. Cette menace était inacceptable, car aucun accord n’avait été négocié entre le Syndicat et l’Université au sujet de la rémunération de la formation.

Trois semaines plus tard, il n’y a toujours pas eu d’accord. Le SCCC-UQO a répondu par un grief syndical. Ce grief n’est pas fait selon un article de la Convention collective, mais plutôt selon l’article 58 de la Loi sur les normes (minimales) du travail. Notre université oublie le principe fondamental que tout travail doit être rémunéré et qu’on ne peut pas forcer quelqu’un au « bénévolat ».

Ces démarches seront aussi entreprises par les autres syndicats de personnes chargées de cours de la FNEEQ localement et auprès du réseau de l’Université du Québec. Cette situation démontre, encore une fois, que l’UQO ne valorisent pas les bonnes relations de travail avec les personnes chargées de cours.