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Quand peut-on communiquer les notes finales aux étudiantes et étudiants?

Quand peut-on communiquer les notes finales aux étudiantes et étudiants?

Puisque que les notes des étudiantes et des étudiants doivent être soumises à la direction du Département pour approbation, il est important d’attendre qu’elles aient été approuvées avant de leur transmettre. Lorsque les notes finales sont approuvées et rendues disponibles aux étudiantes et aux étudiants, nous en sommes avertis par courriel.

Il est recommandé de ne pas transmettre les notes de la dernière évaluation avant que le Département n’ait approuvé les notes finales. En effet, si le Département vous demande de réviser les notes à la baisse, ajuster la note de la dernière évaluation sera plus facile si cette dernière n’a pas été communiquée aux étudiantes et aux étudiants.

Les universités réclament une vaste offensive pour le logement: il faudra héberger jusqu’à 13 000 étudiants supplémentaires d’ici 10 ans

Après les cégeps, c’est maintenant au tour des universités de réclamer une vaste offensive pour trouver rapidement des solutions à la pénurie de logements abordables, alors qu’il faudra héberger jusqu’à 13 000 étudiants supplémentaires d’ici 10 ans.

«Il faut admettre que la situation est urgente et préoccupante», affirme d’entrée de jeu Daniel Jutras, président du Bureau de coopération interuniversitaire (BCI) et recteur de l’Université de Montréal.

Alors que la pénurie de logements étudiants est bien réelle, la situation risque de s’aggraver davantage au cours des prochaines années selon les projections du réseau universitaire. Lire la suite…

Les universités à la rescousse des enseignants non légalement qualifiés

Plusieurs universités québécoises ont développé de nouveaux programmes pour répondre aux besoins des enseignants non légalement qualifiés et soutenir le milieu scolaire dans un contexte de pénurie. Certains programmes sont qualifiants, d’autres ont seulement pour objectif de former.

Alors qu’une pénurie touche le Québec, quelque 30 000 enseignants non légalement qualifiés (NLQ) ont prêté main-forte dans les salles de classe au cours de l’année scolaire 2020-2021. D’après le dernier rapport du Vérificateur général du Québec, cela représente près du quart des enseignants. Afin de répondre à cette problématique, plusieurs universités ont récemment ouvert des programmes de formation destinés aux enseignants NLQ. Ces programmes courts ou de type maîtrise sont pensés afin d’être en adéquation avec les réalités vécues par ces enseignants. Ils ne mènent cependant pas tous au brevet d’enseignement et ont parfois vocation à outiller sans qualifier. Lire la suite…

L’assurance-médicaments à l’UQO : des délais inacceptables

L’assurance-médicaments à l’UQO : des délais inacceptables

Tout le mois de janvier, les membres qui cotisent à l’assurance-médicaments qui se sont présentés à la pharmacie ont dû payer leurs médicaments. Pire encore! S’ils ont essayé de se faire rembourser par Desjardins, on indiquait qu’ils n’étaient pas admissibles.

Tous les ans, les mêmes problèmes surviennent. C’est que l’Université du Québec en Outaouais (UQO) attend à la deuxième paie après le début du trimestre d’hiver avant de fournir la liste des personnes cotisantes à la compagnie d’assurance Desjardins. En 2024, la situation serait plus grave.

Le Syndicat a approché la Directrice des ressources humaines pour s’en plaindre. Elle serait en pourparlers avec le Directeur des ressources humaines du réseau de l’Université du Québec pour trouver une solution aux problèmes vécus année après année. C’est que les délais indus à l’UQO le sont également dans toutes les constituantes.

Une façon importante d’opérer les changements serait de changer de compagnie d’assurance. Le Syndicat reprendra ses négociations en ce sens. Rappelons que la première tentative a échoué à cause de l’Université du Québec à Montréal. Les autres constituantes, elles, seraient prêtes à ce changement. Nous vous tiendrons au courant du dossier.

Marie-Josée Bourget
Présidente du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO

Pour des soins et des services adaptés aux familles LGBTQ+

Le colloque « Pour des soins et des services adaptés aux familles LGBTQ+ : journée colloque sur les savoirs et les pratiques interdisciplinaires auprès des familles LGBTQ+ » se tiendra le mercredi 21 février 2024 de 10h00 à 16h00 et sera suivi d’un vin d’honneur pour clore la journée. L’événement aura lieu à l’UQO dans l’auditorium du Pavillon Lucien-Brault à Gatineau. Ce colloque permettra à la communauté universitaire d’avoir accès aux données de recherche les plus à jour sur le sujet tout en valorisant l’intégration de ces connaissances. L’UQO appuie également cette journée en offrant le dîner ainsi qu’un vin d’honneur pour les personnes participantes. La journée colloque se terminera par la visite de l’exposition photo « Fierté et résilience : 25 ans d’histoires de familles LGBTQ2S+ » de la Coalition des familles LGBT+ dans la Galerie UQO.

Pour tous les détails, rendez-vous au : Journée colloque sur les savoirs et les pratiques interdisciplinaires auprès des familles LGBTQ+ | Chaire de recherche du Canada (uqo.ca) 

L’activité est gratuite, mais l’inscription obligatoire. Faites vite, les places sont limitées. 

Pour les personnes de Gatineau seulement : 

Veuillez vous inscrire via ce lien : https://forms.office.com/r/6hjZv7qFNn 

Pour les personnes de St-Jérôme seulement : 

** L’autobus sera fourni pour les personnes de St-Jérôme afin de pouvoir venir à l’événement qui se tiendra à Gatineau. Lors de l’inscription, un dépôt de 10$ sera demandé pour réserver sa place dans l’autobus. Le 10$ sera remboursé le matin même de l’événement, une fois que vous serez dans l’autobus. L’événement est gratuit. ** 

Veuillez vous inscrire via ce lien : https://events.studentsphere.ca/en/events/2052

Cette journée est offerte par l’UQO et organisée par la professeure Isabel Côté du département de Travail social, conjointement avec la Coalition des familles LGBT+ ainsi que le regroupement étudiant Alliance Queer UQO Gatineau.

Pour des soins et des services adaptés aux familles LGBTQ+ : journée colloque sur les savoirs et les pratiques interdisciplinaires auprès des familles LGBTQ+

Quand : Le 21 février 2024

10h00 à 16h00

Suivi d’un vin d’honneur pour clore la journée lors de la visite de l’exposition

Dîner offert

Où : Auditorium du pavillon Lucien-Brault (UQO, Gatineau)

Activité gratuite

Inscriptions obligatoires, places limitées

Les étudiantes ou les étudiants peuvent-ils contester leurs notes?

Les étudiantes ou les étudiants peuvent-ils contester leurs notes?

Les étudiantes et les étudiants peuvent contester leurs notes. Cette contestation doit se faire de manière officielle dans les dix (10) jours ouvrables suivant la publication des notes. Ils doivent remplir le formulaire à l’adresse : https://uqo.ca/etudiants/revision-notes

La révision des notes peut se faire par une étudiante ou un étudiant, par une personne chargée de cours ou par l’Université. Vous pouvez trouver l’information dans le Régime des études de premier cycle à l’article 10.8.

Lorsque l’étudiante ou l’étudiant demande une révision de note, vous recevez le formulaire pour confirmer ou modifier la note. Si la note est maintenue et que l’étudiante ou l’étudiant poursuit sa démarche, vous serez convoquée ou convoqué par un comité d’appel qui entendra les motifs qui justifient votre note. La personne qui demande la révision de note sera aussi convoquée pour être entendue, mais à un autre moment que vous.

Le comité d’appel est constitué par le Département, et il est composé de la directrice ou du directeur de Département (ou son substitut) et d’un professeur (ou son substitut) de l’assemblée départementale mandaté à cette fin et d’une étudiante ou d’un étudiant membre du conseil de module responsable du programme de l’étudiante ou de l’étudiant.

N’instrumentalisons pas la liberté académique

N’instrumentalisons pas la liberté académique

Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO (SCCC-UQO) est, depuis longtemps, engagé pour défendre la liberté académique. Le SCCC-UQO a notamment publié deux mémoires afin de protéger ce droit.

La semaine dernière, nous apprenions que le gouvernement du Québec a bloqué la nomination d’une professeure, Denise Helly, au Conseil d’administration de l’Institut national de recherche scientifique (INRS). Il semblerait que ses travaux sur l’islamophobie et le racisme systémique étaient la motivation de la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, afin d’utiliser son pouvoir discrétionnaire.

Or, Denise Helly avait été élue par le corps professoral de l’INRS. Nous croyons que les personnes désignées par les personnes chargées de cours, étudiantes et professeures ne devraient pas devoir être validées par le Conseil des ministres. Il en va de l’autonomie de l’institution et du principe de cogestion. C’est une des raisons pour lesquelles nous réclamons, depuis longtemps, la réouverture de la Loi sur l’Université du Québec.

L’usage du pouvoir discrétionnaire de la ministre va également à l’encontre des visées de la Loi sur la liberté académique en milieu universitaire. En effet, cette Loi devait protéger contre la censure institutionnelle et l’autocensure. Or, la ministre Déry semble avoir agi afin de censurer une professeure dont les travaux n’étaient pas en adéquation avec le programme de la CAQ. 

Il est temps de sortir le débat de la liberté académique de la dichotomie woke/anti-woke. Les cas d’entraves de la liberté académique que nous voyons quotidiennement concernent davantage le droit de critiquer son institution ainsi que la liberté de choisir ses outils pédagogiques, incluant les modes d’évaluations. Ces questions sont trop importantes pour se laisser distraire par ces manœuvres!

Nicolas Harvey
Vice-président aux communications du SCCC-UQO

Québec bloque la nomination au CA de l’INRS d’une prof étudiant le racisme systémique

La ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, a semé l’émoi chez les professeurs, dans les partis d’opposition et dans les plus hautes sphères de l’Université du Québec (UQ) en bloquant la nomination d’une professeure qui s’intéresse, dans ses travaux, au multiculturalisme, à l’islamophobie, au racisme systémique et, depuis peu, au mouvement anti-woke.

Le 20 décembre, la professeure titulaire Denise Helly, de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), a reçu un message du secrétaire général de son établissement qui l’avisait avec « regret » que sa candidature au conseil d’administration (CA) de l’INRS n’avait pas été « retenue » par le ministère de l’Enseignement supérieur.

La raison ? Dans le courriel que Le Devoir a pu consulter, le secrétaire général, Michel Fortin, écrit à Mme Helly que la décision relève de la « discrétion ministérielle » et que, dans ce type de situation, « le ministère de l’Enseignement supérieur ne fournit aucune explication additionnelle ». Lire la suite