
En entrevue au 104.7, radio Cogeco de l’Outaouais, la rectrice de l’UQO affirmait le 24 septembre dernier que c’est une personne chargée de cours qui aurait empêché l’étudiante diabétique de sortir de la classe pour manger.
Or, le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO (SCCC-UQO) n’a jamais reçu de convocation pour enquête disciplinaire d’un de ses membres. Pourtant, selon la Convention collective, le Syndicat doit être mis en copie des convocations disciplinaires.
Le SCCC-UQO a même dû faire une demande d’accès à l’information pour tenter de connaître les détails de l’événement, demande qui a été rejetée par l’UQO.
Nous avons toutefois appris récemment qu’aucune personne chargée de cours n’était impliquée dans cette histoire. C’est plutôt une professeure de l’UQO qui serait impliquée. Comme ce n’est pas une de nos membres, nous ne pouvons pas obtenir de détails sur les supposés événements.
Nous tenions donc à rectifier les faits.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.