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Une manifestation a été organisée jeudi par l’Association générale des étudiantes en psychoéducation de l’Université de Montréal (AGÉPEUM) pour dénoncer le fait que leurs stages ne sont toujours pas rémunérés. Le fait que le problème touche essentiellement des programmes très prisés par des femmes a été dénoncé.

Pour avoir le titre de psychoéducateur et pouvoir œuvrer dans leur domaine, les étudiants doivent réaliser bénévolement deux stages de sept mois totalisant 920 heures, et ce, en même temps que de suivre leurs cours universitaires.

Selon l’Association, cela met les étudiants dans une situation précaire autant au plan financier que de leur santé mentale.

« Qu’est-ce que les psychoéducatrices, les infirmières, les travailleuses sociales, les orthophonistes et les professeures ont en commun ? Ce sont des professions où les femmes sont majoritaires et où les stages ne sont pas rémunérés », dénonce Marguerite Sabourin qui en est à sa première année du baccalauréat en psychoéducation. Lire la suite…