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Pour protéger la liberté universitaire, la commission Cloutier recommande une solution que le premier ministre François Legault écartait il n’y a pas si longtemps : adopter une loi obligeant les universités à appliquer une série de mesures. Créée dans la foulée de controverses sur l’utilisation du « mot commençant par la lettre n », la commission conclut que les salles de cours ne sont pas des « espaces sécuritaires » (safe spaces) et que « toutes les idées et tous les sujets » peuvent être débattus à l’université.

L’adoption d’une loi est « la seule façon d’assurer, aux yeux des commissaires, qu’il y ait une réelle protection de la liberté universitaire au Québec », a soutenu le président de la commission, Alexandre Cloutier, vice-recteur de l’Université du Québec à Chicoutimi et ex-ministre du Parti québécois, en conférence de presse à Québec, mardi. Selon lui, « le Québec a l’occasion de devenir un des endroits dans le monde où la liberté universitaire est la mieux protégée et où la liberté de circulation des idées sera également la plus reconnue ». Lire la suite…