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Le chiffre 25 est doublement significatif cette année! Le 25 décembre et 25 griefs potentiels déposés avant 2020. Au 3 décembre, nous en sommes à 23 griefs. Quelle déception! Nous rendrons-nous à 25 avant les vacances? Les paris sont ouverts…

Les personnes chargées de cours du Département des sciences de l’éducation savent que douze charges de cours (huit cours et quatre stages) ont été retirées après trois jours ouvrables d’affichage. Celles au Département des sciences administratives sont au courant que l’attribution des charges de cours a dû être « refaite » parce qu’il y avait trop eu d’erreurs. Que dire de notre représentante au Comité exécutif de l’Université du Québec en Outaouais à qui on retire la rémunération en raison du fait que les rencontres se tiennent à l’heure du dîner et que les autres membres ne « seraient » pas rémunérés? Pourtant, c’est bien mal connaître le travail des personnes chargées de cours. Notre membre qui n’enseigne pas doit se déplacer au pavillon Alexandre-Taché pour les rencontres; elle n’est pas dans les murs de l’UQO. La clause 3.10 de notre Convention collective est pourtant claire. Peu importe l’heure de la réunion, nous devons être rémunérés.  

Ne serait-ce pas possible qu’en fin de mandat, le Recteur soit plus clément? Nous ne pouvons pas vous répondre; il refuse de rencontrer la présidente que ce soit pour les relations de travail ou toute autre question.  Soyez assurés que nous ferons les représentations nécessaires pour que ce genre de comportement cesse avec la nouvelle personne qui sera rectrice. La Haute-Direction de l’UQO a une vision plus qu’étroite des relations de travail. Pourtant, notre Recteur a dit à plusieurs occasions qu’une entente négociée était meilleure qu’une décision arbitrale imposée.  On peut encore reconnaître que la théorie ne rejoint pas la pratique.

Les membres du Comité exécutif du SCCC-UQO